La plateforme DeepSeek, IA générative open source, continue à faire face à unesérie d'attaques DDoS, selon le Système Global de Chasse aux Menaces de NSFOCUS, référence mondiale en cybersécurité
Le vendredi dernier (31), NSFOCUS a détecté trois vagues d'attaques DDoS visant l'adresse IP 1.94.179.165. La première, à 15:33:31, 25 janvier, le lundi à 13:12:44 (jour 26), et un autre jour 27, à 18:09:45 (GMT+8)
Selon l'entreprise de cybersécurité, la durée moyenne des attaques était de 35 minutes, les criminels ont principalement visé DeepSeek par le biais d'attaques de réflexion du protocole de temps réseau (NTP) et de réflexion de memcached
En plus de l'interface de l'API de DeepSeek, NSFOCUS a détecté deux vagues d'attaques contre l'interface du système de chat de DeepSeek, le 20 janvier — jour où le DeepSeek-R1 a été lancé — et un autre le 25. La durée moyenne des attaques était d'une heure, et les principales méthodes comprenaient la réflexion NTP et la réflexion du protocole de découverte de service simple. Les trois principales sources d'infrastructure d'attaque étaient les États-Unis (20%), le Royaume-Uni (17%) et l'Australie (9%)
Selon Raphael Tedesco, responsable des affaires de NSFOCUS pour l'Amérique Latine, quand l'adresse IP de résolution de DeepSeek a été changée (le 28 janvier), l'intrus a "rapidement ajusté" sa stratégie et a lancé une nouvelle série d'attaques DDoS sur le nom de domaine principal, dans l'interface de l'API et dans le système de chat, ce qui reflète la haute complexité de la tactique utilisée
"De la sélection des cibles à la compréhension précise du temps et", ensuite, au contrôle flexible de l'intensité de l'attaque, l'intrus montre un professionnalisme extrêmement élevé à chaque étape. Les attaques hautement coordonnées et précises suggèrent que l'incident n'était pas accidentel, mais bien planifié et organisé, exécuté par une équipe professionnelle, met en avant Tedesco
Accueillie avec ferveur depuis son arrivée sur le marché, avec des modèles de langage de grande taille de première génération et à faible coût pour les entraîner, la plateforme reste en avance sur ChatGPT, principal concurrent, dans le graphique des applications gratuites de l'Apple App Store
